mercredi 26 mai 2010

observation 6

Animus
C'est le mot qui est sortie après avoir contemplé longuement cette étrange morceau de bois flotté . Je vois des corps, des visages, de souffrances, la vieilleisse et l'énergie.
Bien sûr, c'est"artistiquement pas correcte". On a vaincu l'ère de l'animé. Les choses, le monde est ( plus ou moins) sous contrôle. On ne traverse plus un foret la nuit ayant peur, en voyant d'étranges êtres sortir entre les branches et le brouillard. ( et pourquoi il y en a tellement encore qui ont peur de la nuit...). (l'age de payen est revolu, on l'a chassé avec les môines missionaires et les jésuites de notre monde et maintenant on est en train de réussir de chasser le christianisme, les prêtres pédophiles rendent une bonne service la...)
Ca fait un jolie vide. Un vide nécessaire pour le concept, on ne traduit plus, on conçois...
Ma fois, parfois je me demande si je ne voudrais pas payer le prix de la peur et les histoires de shaman raconté pendant que le feu brûle devant la grotte pour quitter cette societé ou l'antisepticisme reigne partout. Et quand je dit partout, c'est vraiment partout: Tout est réglé, contrôlé, prévu,capturé en législation et, le pire, toutes les failles du système sont déja réperé par une organisme, association o.n.g etc. etc. Il n'y a plus rien a dire, à protester, à lamenter... plus de place pour cela.

J'ai mis en ancien compilation de requiems, Verdi y est aussi, tout un coup je me précipite vers la chaîne et augmente le volume, j'avais oublié cette cri du "Libere me"5ième partie de son requiem.
Je m'enfiche des mots, la connotation, c'est le cri qui me perce le coeur, la le son est universel, le cri presque primordial.

Demain je commence ce travail de traduction, je vais m'emparer de ce morceau de nature pur et y rajouter le cri.(si cela vous interesse je vous fera une documentaire, mais ce n'est que du travail et de sueur, l'essentiel est déja fait....)

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